Il y a cinq ans, peut-être moins, je suis partie en Italie. Et dans ma chambre il y avait des draps blanc, et une petite bassine pour se laver la figure, avec une petite serviette en coton blanc pour s'essuyer. Je m'étais crue dans le Hussard sur le toit et je m'étais amusée à me laver comme dans la première scène de ce film (référence, référence, quand tu nous tient, cette image est de plus introuvable sur internet, faut regarder le film en entier et lire le roman tant qu'on y est).
Alors j'étais dans le RER et je me rappelais tout ça, et puis après j'ai eu dans le coeur du Paolo Conte, et des envies de soleil mais pas le soleil pâle de l'hiver (très beau en soi, qu'on ne se méprenne pas). Non je voulais le gros soleil bien jaune de l'Italie en été, quand on se promène à Rome et qu'on en peux plus, qu'on a les pieds pleins de poussière et qu'on s'assoit à l'ombre d'une petite église pour déguster une glace. Voilà, j'ai envie de Paolo Conte, mais je retourne aux lumières rouges et vertes, à la nuit dès 17h et à mes maths.
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